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Vainqueur au Standard (1-3, doublé de Lestienne, but de Bacca), Bruges a confirmé son retour au premier plan. Il n'a pourtant fallu que 50 secondes aux Rouches pour ouvrir le score, via Imoh Ezekiel. Mais grâce à une deuxième mi-temps d'excellente facture, les Brugeois, emmenés par un duo Vazquez-Lestienne intenable, ont réussi à renverser la vapeur pour signer leur premier succès probant depuis très longtemps. C'est aussi leur première victoire à Sclessin depuis la saison 2004-2005. Sans démériter, loin air max pas cher de là, les Rouches subissent un coup d'arrêt imprévu, après quatre succès consécutifs.

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1. Buzaglo sanctionné par Rednic
Mircea Rednic n'est pas un rigolo. Le coach roumain du Standard l'a encore démontré ce dimanche en renvoyant Maor Buzaglo à la maison pour un tweet malheureux envoyé samedi, veille du match. L'Israélien s'est plaint publiquement de ne pas obtenir une place de titulaire pour le choc contre les Blauw en Zwart. « J'ai disputé trois matches, je suis impliqué dans cinq buts et nous avons gagné ces rencontres. Très surpris de ne pas être titulaire demain! » A la base, Buzaglo aurait donc dû prendre place sur le banc mais Rednic a décidé de se passer air max pas chere de ses services en le laissant à la maison. Une fois de plus, l'entraîneur du Standard a montré que le seul patron, c'était lui.

2. Coup de tonnerre après 50 secondes
Le choc a démarré sur les chapeaux de roue. Imoh Ezekiel a peut-être inscrit le but le plus rapide de la saison en trouvant la faille après seulement 50 secondes de jeu. Tout est parti d'une mauvaise passe en retrait de Vadis pour Larsen, qui a raté son contrôle. Le petit Nigérian en a profité pour filer au but et tromper Kujovic en deux temps. Lancé idéalement par ce but, le Standard aurait pu alourdir la marque, principalement par Buyens, mais il a galvaudé ses possibilités. Il allait s'en mordre les doigts.

3. Le coaching gagnant de Garrido
Conscient que son équipe manquait de consistance, Juan Carlos Garrido n'a pas hésité à faire deux changements à la pause pour redynamiser son équipe. Tchité (très discret pour son retour à Sclessin) a cédé sa place à Refaelov, tandis que Vazquez suppléait le jeune Verstraete. Un choix qui a rapidement porté ses fruits lorsque l'ancien du Barça lançait magnifiquement Lestienne, qui trompait Kawashima. Ce n'est sans doute pas un hasard si les Rouches ont davantage subi après la pause.


 
Le chef du gouvernement italien Mario Monti s'est dit prêt dimanche à diriger de nouveau l'Italie après les élections de février mais sur la base d'un programme et à la tête d'un vaste mouvement politique réformateur, ouvert à la société civile.

"Aux forces qui manifesteront une adhésion convaincue et crédible au programme Monti, je suis prêt à donner mon opinion, mes encouragements, et, si on me le demande, à les diriger", a annoncé M. Monti, devant la presse, mettant fin à un suspense qui durait depuis plus d'une semaine.

Tout en multipliant prudemment les "si" et "mais", l'ex-commissaire européen s'est dit "prêt à assumer un jour, si les circonstances le veulent, les responsabilités qui me seraient confiées par le Parlement".

Il a présenté un "Agenda Monti" sous l'intitulé "Changer l'Italie et réformer l'Europe", qui prévoit un ancrage fort en Europe, des libéralisations, des mesures pour l'emploi et pour réformer la justice.

Dans un entretien avec la chaîne publique de télévision Rai Tre, le chef du gouvernement démissionnaire n'a pas exclu que les forces politiques qui le soutiendront puissent "indiquer son nom sur leur liste en tant que candidat Premier ministre", au scrutin des 24 et 25 février.

A la présentatrice de l'émission qui a qualifié sa démarche de "montée en politique", M. Monti, uniquement considéré jusqu'à présent comme un technocrate, a répondu : "j'assume la responsabilité de ce que j'ai entrepris".

"Pour emprunter la voie des réformes, il faut un mandat politique, il faut soumettre le programme à l'opinion des électeurs", a indiqué le chef du gouvernement, expliquant toutefois ne pas pouvoir être techniquement candidat aux législatives car il est déjà sénateur à vie.

Conscient du caractère "inhabituel" de sa stratégie, M. Monti a affirmé vouloir dépasser les clivages et a appelé tous les "réformateurs" à adopter son programme, même si cela devait conduire à "désassembler" les formations traditionnelles de droite et de gauche. Il a cité nommément plusieurs personnalités du Parti démocrate (PD) et du PDL de Silvio Berlusconi nike air max pas cher qui pourraient le rejoindre.

Son projet s'adresse à la nébuleuse du "nouveau centre", qui regroupe les ex-démocrates chrétiens et les laïcs proches du patron de Ferrari, fervents partisans depuis des semaines d'une "descente" dans l'arène du "Professeur", mais aussi à "toute la société civile".

Dans la rue, les réactions étaient plutôt positives : "Je pense que c'est l'unique personne qui puisse nous sortir du tunnel, même s'il doit nous demander pour cela des sacrifices", a expliqué Gianna, 43 ans à l'AFP-TV tandis que Paolo, 50 ans, a dit "fortement" espérer qu'il soit candidat. "Sinon, je ne saurai pas quoi faire aux élections".

Pour M. Monti, son "pas en avant air max pas cher gigantesque" s'explique par sa volonté de "ne pas détruire les durs sacrifices que les Italiens ont dû consentir".

Devant la presse, il a stigmatisé son prédécesseur et rival potentiel, Silvio Berlusconi, lancé dans sa sixième campagne en dix-huit ans, en rappelant "la situation périlleuse dans laquelle se trouvait le pays" à son arrivée en novembre 2011.

M. Monti a aussi exprimé son "désarroi" face aux déclarations contradictoires du Cavaliere, 76 ans, qui a alterné ces derniers jours entre les louanges à l'égard du "Professeur" et les condamnations sans appel de l'action de son gouvernement.

"J'ai beaucoup de mal à suivre la linéarité de sa pensée", a noté M. Monti, dénonçant les critiques du Cavaliere sur un gouvernement "accroupi devant l'Union européenne" et sa proposition de supprimer l'impôt sur la résidence principale (IMU).

"Toute hypothèse de collaboration avec Monti est terminée", a rétorqué le secrétaire du PDL, Angelino Alfano, avant de confirmer que s'il remporte le scrutin, le PDL proposera de supprimer l'IMU.

M. Berlusconi dans une énième intervention télévisée dimanche a très directement attaqué M. Monti : "j'ai fait un cauchemar la nuit dernière, Monti était revenu au gouvernement", a-t-il dit, ajoutant que "tout est allé vers le précipice, l'opération Monti arrive d'Allemagne".

La possibilité d'une alliance paraît plus envisageable avec la gauche qui sera emmenée aux législatives par Pier Luigi Bersani, le chef du Parti démocrate, actuellement favori pour le poste de Premier ministre avec 30 à 35% des intentions de vote.

Alors que les sondages donnent un centre fédéré par Monti à seulement 15%, il pourrait être un Premier ministre de recours pour une "grande coalition" entre gauche et centre, si aucune majorité claire ne se dégageait au parlement.

 
Le club de la capitale a battu Brest 3 à 0. Ibrahimovic a marqué son 18e de la saison.

>> L'info. Après sa victoire face à Brest 3 à 0, le Paris Saint-Germain est sûr d'être sacré champion d'automne ce week-end. Le club de la capitale, qui jouait en match avancé vendredi, n'a aucune chance d'être rattrapé... à moins que Lyon, qui compte trois points de retard, ne remporte son match par douze buts d'écart.

air max pas chere Une soirée sans accroc. Les onze Parisiens, les mêmes que ceux titulaires contre Lyon dimanche dernier (1-0), n'avaient en effet sans doute pas besoin de jouer pendant près d'une heure en supériorité numérique. Abdou Sissoko, le petit frère de Mohamed le Parisien, a été exclu pour un tacle pieds décollés à hauteur de la ligne médiane sur Lavezzi (34e).

© Max PPP

Avant qu'Ibrahimovic ouvre le score en coupant au premier poteau un centre de Jallet, très incisif (55e), puis que Gameiro inscrive son 5e but, ils se sont longtemps heurtés à Alexis Thébaux. Le portier a été très bon derrière une défense à cinq. A 2 nike air max pas cher à 0, Paris a ensuite géré face à des Brestois un poil plus entreprenants, inscrivant même un dernier but inscrit contre son camp par Bernard Mendy (90e+2) qui déviait un centre de Jallet.

• Ibra "zlatane" la concurrence. Avec 18 réalisations, "Ibra" n'est déjà plus qu'à trois unités du total des deux meilleurs buteurs de la saison dernière, Olivier Giroud et Nene, auteurs de 21 buts lors de la saison 2011-2012.

Son but de la soirée :


szólj hozzá: Brest vs PSG 0:1 Ibrahimovic

 
Les pompiers viennent d'intervenir à l'école Jean-Moulin de Morlaàs, près de Pau, après un signalement pour des malaises d'enfants.

Au départ, les secours pensaient à une intoxication au monoxyde de carbone, ce gaz incolore et inodore qui se propage suite à air max pas chere des chauffages défectueux.



Mais sur place, les pompiers n'ont pas relevé de gaz. Il semblerait que quelques enfants, qui étaient plus de 70 dans une salle pour un spectacle, aient été victimes d'un coup de chaleur qui aurait provoqué leur malaise.

Un enfant de huit ans a été transporté au service pédiatrique de air max pas cher l'hôpital de Pau, et quatre autres ont été conduits à l'hôpital par leurs parents pour des contrôles. Les autres vont bien et ont pu regagner leur classe.


 
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Une vaste affaire de paris truqués dans le football européen, instruite en Allemagne et qui s'était soldée par des peines de prison ferme, doit être rejugée, a annoncé jeudi la Cour fédérale allemande de Justice. Des matches de Division 2 en Belgique avaient notamment été mis en cause.

La Cour de Karlsruhe a estimé que le jugement rendu le 19 mai 2011 par un tribunal de Bochum n'était pas valable. Le cerveau du réseau, Ante Sapina, a été condamné à cinq ans et demi de prison ferme.

Il a été reconnu coupable d'avoir coordonné un réseau qui a influencé les résultats de 51 rencontres, dont des matches de Ligue air max pas chere des champions et de qualifications au Mondial-2010, en versant de l'argent à des joueurs, arbitres et officiels.

Selon la justice allemande, Sapina a réalisé un bénéfice de 2,4 millions d'euros en pariant, essentiellement en Asie, sur des matches dont il connaissait par avance les résultats.

Son principal complice, identifié comme Marijo C., a également été condamné à cinq ans et demi de prison. Tous deux sont actuellement en liberté, ils se sont pourvus en cassation.

Cette affaire a été présentée comme la plus grave dans l'histoire du football européen.

Parmi les matches concernés, le match de qualification au Mondial-2010 entre le Liechtenstein et la Finlande, celui de Ligue des champions entre Debrecen et la Fiorentina en octobre 2009, quatre matches nike air max pas cher d'Europa League et des rencontres des Championnats de Suisse, Belgique et Turquie.


 
Le Losc a répondu avec fermeté, ce jeudi, à l'UNFP, qui avait dénoncé l'attitude inappropriée des dirigeants nordistes envers Salomon Kalou, poussé vers la sortie. «Dans son communiqué, l'UNFP n'hésite ainsi pas à fabriquer de toutes pièces les déclarations d'un joueur, aussi virtuelles que nike air max pas cher farfelues, dont l'identification de l'origine et le sens prêtent grandement à confusion», écrit le club nordiste sur son site officiel. «Plus grave, l'UNFP fait référence à de prétendues annonces faîtes par les dirigeants du LOSC, dont certaines dénigreraient l'un de leurs salariés. Mais de quelles annonces parle ici l'UNFP ? Le LOSC, qui conteste catégoriquement les propos qui lui air max pas cher sont prêtés, met au défi l'UNFP de les présenter. Ces accusations mensongères relèvent de la pure diffamation et sont répréhensibles, prévient le Losc. En l'état, le club se réserve le droit d'intenter une action judiciaire.» (Photo Presse-Sports)



 
Alors qu’il a déclaré sa flamme au Milan AC mardi, Javier Pastore ne devrait pas pour Nike Air Max autant rejoindre le club lombard lors du prochain mercato. C’est Adriano Galliani, qui l’a assuré au micro de Milan Channel mercredi. «Pastore? C’est impossible parce que nous nous sommes renseignés et le PSG ne veut pas le laisser partir», a-t-il indiqué.

Le vice-président en a profité pour faire le point sur le prochain mercato de son club:«Nous sommes fournis en défense. Au milieu, personne n’arrive et personne ne part. Si un attaquant s’en va, nous ne recruterons pas. S’il y a deux départs devant, nous prendrons quelqu’un, mais c’est tout», a-t-il affirmé. Les Milanais veulent « laisserla possibilité à M’Baye Niang de grandir.»

Quant à Robinho et Pato: «Est-ce que je ferai tout pour retenir Robinho? Je ferai mon possible, mais je ne suis sûr de rien. Pato? Oui il y a des offres», a-t-il lâché.



 
Jeudi, on connaîtra le tirage au sort des huitièmes de finale de la Ligue des Champions, et chaque équipe qualifiée aura sa préférence sur la formation qu'elle veut affronter. Pour le milieu de terrain du PSG Blaise Matuidi, il existe un tirage aisé, et un tirage impossible. Et dans cette deuxième catégorie, on retrouve bien entendu l'épouvantail Real Madrid, qui a terminé second de son groupe de qualification, et qui effraie donc tous ceux qui nike pas cher ont réussi à accrocher la première place. Et le PSG n'échappe pas à cette crainte.« On n'a pas encore parlé du tirage au sort, mais je pense qu'on aura tous les yeux rivés sur le tirage car la Ligue des Champions c'est quelque chose à part. C'est la meilleure compétition du monde. Un bon tirage ? Il y a des équipes moins huppées, comme Galatasaray et le Celtic. Mais attention, car si elles sont là, c'est qu'elles le méritent. Le Celtic a quand même battu Barcelone. Mais s'il y a une équipe à éviter, c'est le Real, car c'est une grande équipe avec des grands joueurs. On veut les éviter, mais si on les prend, on va jouer à fond et ce sera du bonheur de recevoir le Real au Parc des Princes », a assuré Blaise Matuidi en conférence de presse. Reste que le PSG pourrait également hériter de l'AC Milan ou de Valence, qui ne seraient pas non plus des adversaires faciles pour le club de la capitale.


 
À force d’être contraint, sans cesse, d’intégrer de nouveaux joueurs, de composer avec les blessures des uns et des autres, Chalon s’y perd.

Le 30 novembre dernier, l’Élan était officiellement hors course pour le Top 16 de l’Euroligue. Une déception qu’il a fallu digérer. D’autant plus qu’elle s’est accompagnée du départ de Lauvergne, puis de celui de Rush, remplacé par Banks. Sans oublier les blessures de Lang puis d’Evtimov. Pas facile lorsque l’on joue deux matches par semaine, et que l’on manque de temps pour travailler.

Besoin de tout le monde
Alors l’Élan entretient l’illusion, par séquences, où l’on retrouve cette fluidité qui faisait la force de son jeu l’an dernier. Mais sur la durée, ça ne tient pas. Comme à Nanterre, où après avoir compté jusqu’à 11 longueurs d’avance (21-32,19 e), l’Élan s’est Nike Air Max effondré jusqu’à pointer, à son tour, à 11 points de Nanterre (69-58, 38 e).

« C’est aberrant car la volonté et l’état d’esprit étaient là. Mais d’un seul coup, tout s’est arrêté », déclare Gregor Beugnot. « Est-ce que c’est le contexte actuel qui veut ça ? Je ne sais pas… Mais c’est plus qu’évident que je vais avoir besoin de tout le monde. Et nous n’avons rien à attendre de personne. J’ai dit au groupe qu’il va falloir construire un mur autour de nous (...) On est une bête blessée et on veut achever la bête. »

Dimanche après-midi, on ne peut malheureusement pas dire que le staff chalonnais ait pu compter sur tout le monde. Pour la première fois de la saison, l’Élan enregistre deux revers de rang en championnat. Et sur ces deux matches face à Roanne et à Nanterre, le poste 2 ( ndlr : arrière) a été largement déficitaire. Il y a une semaine, Lang avait scoré 2 points à 0/5. Banks 2 points à 1/4. Dimanche, à Nanterre, Lang n’a pas inscrit de point et Banks a totalisé 6 points à 2/5. Autrement, sur les deux dernières journées de Pro A, la doublette d’arrières a cumulé seulement 10 points à 3/15… Et +2 à l’évaluation !

Au-delà de ça, le poste 4 a également posé problème. Evtimov, qui revenait de blessure, était à 0 point à 0/5 à l’issue du 3 e quart-temps. Aboudou, dont le profil d’ailier fort a été préféré à celui de Capela par rapport au système défensif de Nanterre, est passé au travers ( ndlr : 2 pts à 1/3, -1 d’éval.). Dans ces conditions, pas évident de remporter un match, d’autant plus que la défense est toujours en rodage.

Mais il en faut bien plus pour décourager Chalon qui, malgré tout, reste aux avant-postes de la Pro A. « L’équipe va réagir. Je suis sûr que ça va repartir », positive Steed Tchicamboud.

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SIG - Le Mans : 83-63

 
Leonardo n'a pas apprécié les récents commentaires de Jean-Michel Aulas sur le PSG. Le directeur sportif du club de la capitale a violemment rembarré le président de l'OL, victime "d'un complexe d'infériorité" selon lui, suite au début de polémique lancée par JMA après le geste de Zlatan Ibrahimovic sur Dejan Lovren lors du match entre les deux équipes dimanche. Une attaque en règle à laquelle Lyon n'a pas tardé à réagir.PSG - Lyon, la guerre est déclarée. Elle a débuté depuis dimanche et le match entre les deux équipes, après la pluie de nike pas cher commentaires qui a suivi le geste de Zlatan Ibrahimovic, coupable de s'être essuyé les crampons sur le front de Dejan Lovren. Un geste volontaire selon Jean-Michel Aulas, qui s'est empressé de le dénoncer en zone mixte à l'issue de la rencontre. De quoi provoquer la colère de Leonardo.

Le directeur sportif du PSG a réagi aux accusations du président de l'OL dans les colonnes de l'Equipe. "Mais il est qui lui pour juger? Sur les questions d’arbitrage, c’est une chose de discuter sur des points de règlement. Mais juger de l’intention d’un joueur sur un geste précis, ça n’a rien à voir! C’est impossible de se prononcer sur une intention!", lance Leonardo, virulent dans sa contre-attaque. "Attendez, Aulas, il fait quoi? Je ne comprends plus très bien. Il travaille aussi à la commission juridique de la Ligue?"
"Un complexe d'infériorité"
Envoyé régulièrement au front pour répondre aux détracteurs du PSG, le Brésilien n'y va pas de main morte. "Tout ce qu’il veut, c’est faire diversion par rapport au mauvais résultat de son équipe, ajoute-t-il. Lyon, on les a maitrisés, surtout en seconde période, c’est la réalité. Aulas, on dirait qu’il cherche à justifier cette défaite. Mais vous savez ce que ses propos traduisent à mes yeux ? Un complexe d’infériorité. " Et Leonardo de revenir sur les récentes déclarations de JMA, qui avaient donné quelques conseils aux Qataris pour la gestion du PSG.

"Mais qu’il arrête de parler du PSG ! L’autre jour, il disait : 'Voilà, moi, je conseillerais ci, je conseillerais ça…' Là, il se met à parler de l’intention d’un de nos joueurs. Qu’il laisse Zlatan tranquille ! C’est trop facile de vouloir le pointer du doigt. Si on commence à regarder toutes les actions des matches du week-end, on va passer son temps devant la télé.". Des déclarations auxquelles le camp lyonnais a rapidement réagi, accentuant la rivalité entre les deux clubs.