Cet exploit rare illustre la force de frappe des joueurs français en NBA en ce moment après le premier triple-double de Tony Parker il y a une semaine et le match en cinq dimensions de Nicolas Batum, dimanche (11 points, 10 passes décisives, 5 rebonds, 5 interceptions, 5 contres). Noah, qui s'était déjà illustré le 8 décembre avec un match à 30 points et 23 rebonds, a confirmé au passage qu'il était le meilleur passeur de la NBA parmi les intérieurs, éclairant le jeu air max pas chere des Bulls depuis la raquette.

Résultats

LA Lakers - Charlotte 101 - 100
Golden State - Nouvelle-Orleans 103 - 96
Dallas - Philadelphie 107 - 100
Miami - Minnesota 103 - 92
Brooklyn Nets - Utah 90 - 92
Denver - San Antonio 112 - 106
Chicago - Boston 100 - 89
Milwaukee - Indiana 98 - 93
Cleveland - Toronto 99 - 113
Washington - Atlanta 95 - 100 a.p.
«Il est incroyable, c'est un grand passeur. Sans doute le meilleur intérieur de la ligue dans ce domaine», a applaudi son coéquipier Carlos Boozer. «J'ai toujours dit que j'étais un pivot-meneur henae2h et je me sens plus à l'aise en attaque», a commenté Noah qui, à ce rythme, file tout droit vers une première sélection pour le All-Star Game en février.

Parker discret

Sélectionné à quatre reprises déjà pour le match des étoiles, Tony Parker est resté discret mardi (13 points à 4 sur 12 aux tirs) tout comme le reste des San Antonio Spurs, battus 112-106 à Denver, leur quatrième défaite en cinq matches. Boris Diaw a apporté 4 points, 8 rebonds, 4 passes et 2 contres en 25 minutes, alors que Nando De Colo a marqué 3 points en 6 minutes.

Cinq autres Français étaient de sortie mardi. Ian Mahinmi est celui qui s'est le plus mis en évidence avec 14 points et 5 rebonds en 20 minutes lors de la défaite 98-93 d'Indiana à Milwaukee. Kevin Séraphin, rapidement touché par les fautes, n'a rendu que nike air max pas cher 4 points et 5 rebonds en 20 minutes lors de la défaite 100-95 après prolongation de Washington contre Atlanta, où Johan Petro n'a pas joué. Mickaël Pietrus s'est contenté de 3 points en 16 minutes lors de la victoire 113-99 de Toronto, à Cleveland, alors que Rodrigue Beaubois n'a fait que passer (2 minutes) lors du succès 107-100 de Dallas contre Philadelphie. Quant aux Los Angeles Lakers, ils ont remonté un déficit de 18 points de retard pour coiffer Charlotte sur le fil (101-100) avec 30 points, 6 rebonds et 7 passes de Kobe Bryant, mais sans vraiment se rassurer.



 
Selon le journal Sud Ouest d'hier, Francis Gillot, entraîneur depuis 2011, ne devrait pas prolonger l'aventure à Bordeaux après la fin de saison, malgré la proposition effectuée par le président Jean-Louis Triaud.
Interrogé en conférence de presse, l'entraîneur avait refusé de répondre sur son avenir. Sa décision officielle devrait intervenir après la trêve mais il aurait déjà fait connaître sa position aux dirigeants. « On a lui a fait une proposition, pas de circonstance mais en marquant notre volonté forte de le garder », avait commenté de son côté Triaud. Gillot est annoncé avec insistance du côté de Lille où Rudi Garcia est peut-être en fin de cycle.
Jeu de chaises musicales ?Pour son éventuel remplacement, plusieurs noms sont cités comme henae2h ceux d'Antoine Koumbouaré, ou Jean-Louis Gasset, l'ancien adjoint de Laurent Blanc aux Girondins et en équipe de France, voire...Rudi Garcia.
Le président bordelais, venu faire le bilan de la première moitié de saison avant de « couper le portable pendant une semaine » espère également garder son meilleur buteur Yoann Gouffran en fin de contrat en juin et donc libre de s'entendre avec un autre club dès le 1er janvier. « On lui a fait une proposition longue durée, pas pour le transférer ensuite comme cela a été écrit. Il n'a pas dit oui, il n'a pas dit non. » Ce sera également difficile de le retenir car des clubs anglais sont à l'affût.

« Pas besoin d'avoir Messi... »


Côté terrain, ce n'était pas la joie non plus. Ce 0-0 contre nike air max pas cher l'Estac intervient après une série de nuls contre d'autres « sans grades » (Ajaccio, Sochaux...) qui commencent à irriter le public de Chaban-Delams qui a copieusement sifflé les siens. « Tous ces nuls ne font pas avancer et on gâche un peu tout ce qu'on avait fait de bien avant, estime Gillot. mais le bilan reste positif. »
« Sans faire injure à ces équipes, si on n'arrive pas à gagner ces matches, on est en droit de se poser des questions, regrette Triaud, plus mordant. Ça fait déjà 11 nuls cette saison, ça doit être une sorte de record. On ne fait pas un mauvais match, mais c'est toujours sur le même rythme. Ce n'est pas normal de ne pouvoir répondre au pressing troyen. On manque de grinta, d'engagement, de sacrifice. On n'a pas besoin d'avoir Messi dans l'équipe pour gagner ces matches à la maison. A la reprise, je vais air max pas cher rencontrer les joueurs pour leur demander ce qu'ils ont envie de faire de cette phase retour. Il faut qu'il y ait une prise de conscience, qu'ils se prennent en main. »

A. L.



 
PSG, Tottenham et c’est maintenant au tour de Los Angeles Galaxy d’être associé à l’avenir de air max pas cher Wesley Sneijder, le milieu de terrain néerlandais de l’Inter Milan.

Sneijder aux USA plutôt qu’au PSG ?
Toujours en délicatesse avec ses dirigeants, le néerlandais Wesley Sneijder pourrait quitter l’Europe air max pas chere où le PSG était une piste très sérieuse pour son avenir. D’après les médias italiens et CNN, c’est du côté des Los Angeles Galaxy qu’il pourrait finalement rebondir au prochain mercato. Alors que son ancien coach à l’Inter, Leonardo, actuel directeur sportif du PSG cherchait à l’attirer en France, la réticence de Carlo Ancelotti a fait échouer ce dossier.

Sous contrat avec l’Inter Milan jusqu’en juin 2015, Sneijder, également visé par Schalke04 pourrait faire l’objet d’un échange contre Julian Draxler.


 
Pour son retour en Ligue 1, l'Estac a bouclé la phase aller avec seulement 13 points. Jean-Marc Furlan s'attendait à souffrir mais pas autant. Il reconnaît que l'équipe troyenne a mis du temps à se mettre au niveau, donne des explications mais estime que son équipe n'a pas été aidée par les circonstances. Interview à mi-parcours. Avec toujours le même franc-parler

Quel est votre sentiment sur la situation à mi-saison ?
« Elle est compliquée mais j'espère que les choses vont tourner dans notre sens. J'ai l'impression que tout s'est mal goupillé dès la première journée contre Valenciennes et qu'on a eu beaucoup de mal à sortir de ça. Il y a eu ensuite une hécatombe défensive et ça nous a vraiment nike air max pas cher porté préjudice. Et ce n'est pas les deux derniers matches qui vont me faire changer d'avis. On voit que dès qu'on a pu stabiliser la défense, avec l'expérience d'un Bréchet, le retour de Faussurier, on est tout de suite plus solide. Mon gros regret, il est là. »

La Ligue 1, c'était un cadeau empoisonné ?
« Non, non. Il y a des côtés géniaux, comme aller à Paris, Lyon, Saint-Etienne... C'est aussi pour ça qu'on fait ce métier. Et les joueurs sont heureux, c'est le paradis pour eux. La Ligue 1, on est allé la chercher, on l'aime, on a envie d'y rester. Après pour l'entraîneur, quand on a la 20e masse salariale, c'est compliqué, tu perds souvent, c'est dur à vivre. Je le savais. À Monaco le soir de la montée, j'avais dit à mon staff « bienvenue en enfer ». La masse salariale, c'est ça que regardent les entraîneurs. Certes, je suis descendu deux fois, mais j'ai aussi fait un maintien avec l'Estac, personne ne le note jamais. Si j'ai la 12 ou 13e air max pas cher masse salariale et que je me plante, ça serait différent. Mais je sais qu'ailleurs qu'à Troyes, j'aurais sans doute déjà dégagé. »

Etre largué au classement, c'est difficile à vivre au quotidien ?
« Oui, je déteste toujours la défaite mais quand même, je vis bien mieux le quotidien que la première fois. C'est grâce au soutien du président. On sait où on veut aller, ce qu'on a fait aussi. La Ligue 1, c'est une aubaine phénoménale pour nous ; on a remonté la pente sur le plan économique, c'était capital. Je sais qu'il est très reconnaissant de ça. Il me dit parfois : « On est 19e mais je préfère être dans ma situation que dans celle de certains collègues. » Je rappelle que le club a déjà eu quatre appellations différentes. Le dépôt de bilan, vous connaissez. Donc, on essaie de rester à la fois très ambitieux et pragmatique. »


Retrouvez l'interview complète dans votre journal du jour.

Anthony LACAILLE

 
Johnny Hallyday, qui a achevé samedi à Marseille une série de concerts ayant rassemblé 650.000 spectateurs, sera de nike air max pas cher retour sur scène dès juin prochain pour ses 70 ans avec "un nouveau spectacle et une nouvelle tournée", dit-il dans un entretien à Nice-Matin publié lundi.

"Vous pouvez compter sur moi en 2013", lance le air max pas chere chanteur dont le nouvel album "L'attente", publié en novembre a été un succès public et critique.

"On commence le tournage du film de Claude Lelouch ("Salaud, on t'aime", ndlr) le 14 janvier près de Megève. J'aurai ensuite quelques semaines libres, que je compte mettre à profit pour écrire et enregistrer de nouvelles chansons", indique le rockeur de 69 ans.

"Je serai de retour sur scène en juin, pour mon anniversaire, avec un nouveau spectacle et une nouvelle tournée. Je cherche déjà un concept pour essayer de surprendre encore, mais ça devient de plus en plus difficile", ajoute-t-il.

Le rockeur écarte toutefois l'idée d'une "tournée d'adieux", alors qu'en 2009 le "Tour 66", présenté comme sa dernière tournée à l'époque, s'était achevé prématurément en raison de graves ennuis de santé de la star.

"J'ai essayé une fois, ça m'a suffi. J'ai compris ! Qu'est-ce que je ferais si je m'arrêtais ? J'ai besoin de faire de la scène, sinon je m'ennuie", dit-il.

Selon son producteur, Gilbert Coullier, sa tournée de 65 dates qui s'est achevée samedi, a rassemblé 650.000 spectateurs et s'est soldée par un "succès financier" après un démarrage "plus difficile que prévu".


 
Ce derby face aux Strasbourgeois, les Mulhousiens ne l’ont pas joué comme ils l’avaient espéré. Face à une équipe de l’Étoile Noire bien en rythme, en dépit de trois semaines passées sans avoir disputé un seul match, les Scorpions sont passés à côté de leur sujet, au grand désarroi de Christer Eriksson, l’entraîneur, et des nombreux supporteurs haut-rhinois qui avaient fait le déplacement dans la capitale alsacienne : « J’ai vu des moutons et pas des guerriers. Même si le score n’est pas catastrophique, car perdre de deux buts en Ligue Magnus n’est pas dramatique, c’est la manière qui me déçoit ».

Il est vrai qu’en étant menés 2-0 dès la 5 e minute de jeu, les coéquipiers de Ballet avaient déjà hypothéqué une grande partie de leurs chances de victoire. Et en commettant de nombreuses maladresses, face à des Strasbourgeois solides défensivement et percutants offensivement, ils n’ont pas été loin du naufrage, avant qu’une petite lueur d’espoir n’intervienne avec le but d’Alner, qui a permis aux Scorpions de revenir à 2-3.

« Certains joueurs ne sont pas au niveau »
Mais cette petite lueur s’est vite éteinte face à des Bas-Rhinois qui n’ont fait aucun cadeau à leurs voisins haut-rhinois. « On a eu beaucoup trop d’absences mentales et physiques, regrette Christer Eriksson. On a fait de grosses erreurs individuelles, les joueurs ont fait de mauvais choix qui font que l’on perd le air max pas chere palet ou que l’on rate un but. On était tellement crispés et je me rends compte que certains joueurs ne sont, tout simplement, pas au niveau de la Ligue Magnus. Et ce 4 e but marqué par Strasbourg a été un vrai coup de marteau sur nos têtes ».

Le constat est amer mais réaliste. Samedi soir, pour ce premier match du cycle retour, les Scorpions ont perdu plus qu’un match. Ils ont aussi perdu un rang au classement et se retrouvent ce matin avant-derniers. Si le maintien est encore possible et que rien n’est joué dans ce championnat très dense cette saison, les Mulhousiens devront rapidement se reconcentrer. Dans ce derby face à l’Étoile Noire, les Scorpions ont encore une fois dû courir après le score. « C’est une grosse déception, reconnaît Christer Eriksson. On a même couru à contre sens. Et on n’a pas eu de réussite dans les situations spéciales sauf quand on a marqué ce but qui aurait dû nous relancer. Il aurait fallu tenir et c’est hallucinant de voir toutes ces erreurs que l’on a commises. C’est frustrant ».

Place au champion en titre
Et pour leur dernier match de l’année, les Scorpions vont finir en beauté en accueillant, samedi soir à l’Illberg, les Dragons de Rouen, triples champions de France en titre. Un match qui s’annonce, encore une fois, très difficile. « Chaque match commence à 0-0 et dure 60 minutes, à nous de faire en sorte de tenir et air max pas cher de ne rien lâcher » conclut Christer Eriksson, qui espère une réaction de ses joueurs.


 
Le sale samedi du Real et de Mourinho, la nouvelle victoire du Barça et le carton de Chelsea : voici les onze matches qu’il ne fallait pas manquer ce week-end. 0DPPI

MALAGA - REAL MADRID : 3-2
Liga - 17e journée

Le Real Madrid a de nouveau sombré sur la pelouse de Malaga. Pas la plus grosse affaire de la soirée. Plus que ces trois nouveaux points perdus qui ne changeront pas grand-chose alors que la Liga semble jouée, c'est la décision de José Mourinho de mettre Iker Casillas sur le banc qui a fait couler des tonnes d’encre. Le Portugais ne pouvait s’y prendre autrement pour se mettre le vestiaire, les supporters et les médias à dos. A Madrid, sa fin de règne semble de plus en plus proche. Mais il a envoyé un message à tout le monde : quitte à couler, il restera le patron jusqu'au bout.

VALLADOLID - FC BARCELONE : 1-3
Liga - 17e journée

Sans son entraîneur Tito Vilanova de nouveau opéré d'une tumeur, le Barça n'a pas tremblé. Une victoire sans coup férir qui a permis au club catalan et Lionel Messi de soigner un peu plus leurs statistiques hallucinantes. Seizième victoire en dix-sept journées pour le Barça, soit quarante-neuf points engrangés sur air max pas cher cinquante-et-un possibles. Quant à l'Argentin, il a inscrit son 26e but en 17 journées et le 91e de l’année 2012. A couper le souffle.

WIGAN - ARSENAL : 0-1
Premier League - 18e journée

Arsenal va mieux et l'a confirmé sur la pelouse de Wigan (0-1), relégable. Un succès difficile à obtenir face à des Latics bien organisés mais maladroits face au but. Pour cette rencontre, Arsène Wenger s'était résolu à titulariser Theo Walcott dans l'axe, un signe en direction de son joueur afin de l'amener à prolonger avant la fin de son contrat dans six mois. Si l'attaquant anglais n'a pas vraiment impressionné, c'est bien lui qui a obtenu le penalty de la victoire, transformé par Mikel Arteta. Pour la première fois de la saison, Arsenal enchaîne trois succès d'affilée et oublie un peu plus la crise.

SWANSEA CITY - MANCHESTER UNITED : 1-1
Premier League - 18e journée

Sir Alex Ferguson s'est trouvé un nouveau buteur en la personne de Patrice Evra. Trois buts sur ses 12 dernières rencontres en Premier League, c'est mieux que lors de ses 211 premières rencontres sur le sol anglais. Avec ce total, le latéral mancunien se classe 3e dans la hiérarchie des buteurs de son équipe, derrière le duo RVP-Rooney mais devant Nani, Kagawa ou Danny Welbeck. A 31 ans, Evra retrouve ses jambes de 18 ans, lorsqu'il avait marqué 3 buts en Serie C avec Marsala. Mais à l'époque, il était milieu offensif et pas encore défenseur.

CHELSEA - ASTON VILLA : 8-0
Premier League - 18e journée

Huit buts, sept buteurs différents : les joueurs de Chelsea se sont partagé le travail pour humilier Aston Villa. Les Blues n'avaient réalisé un tel carton depuis la dernière journée de la saison 2009/2010 où Wigan en avait pris autant. 8-0, c'est également un record pour le coach des Blues, si décrié à Stamford Bridge : Rafael Benitez restait sur un 6-0 avec Liverpool lors d'une victoire contre Derby County en 2007. Enfin, ça peut toujours servir : la différence de buts passe d'un coup de +11 à +19 (comme air max pas chere les deux Manchester).

AJACCIO - RENNES : 2-4
Ligue 1 - 19e journée

Un public frondeur et l'homme au sifflet qui restent dans les vestiaires dix minutes durant : la fin d'Ajaccio - Rennes a été hautement rocambolesque. A l'origine du courroux des supporters corses, venus faire trembler les grillages : un coup franc dans la surface accordé à Rennes à la 71e minute, après une passe de Medjani pour son gardien Ochoa, à la grande fureur du public. Julien Féret a marqué, permettant à son équipe, qui menait jusque-là 3-2, de prendre le large. Et François-Coty s'est emballé, malgré les appels au calme des joueurs locaux.

LYON - NICE : 3-0
Ligue 1 - 19e journée

Les Lyonnais font de la résistance. En dominant largement Nice à Gerland, ils ont remporté leur dernier match de la phase aller en Ligue 1, une première depuis 2008. Les joueurs de Rémi Garde restent ainsi dans le sillage du PSG qui cartonne en ce moment mais ne doit sa place de leader qu'à une meilleure différence de buts (+24 contre +16). L'OL qui a dû dégraisser pendant l'été se révèle le plus solide à domicile et peut encore s'appuyer sur quelques joueurs expérimentés et efficaces comme Réveillère, Gomis et Lisandro, tous trois buteurs contre Nice. Les Aiglons qui affichaient une forme insolente, mais ont buté sur l'excellent Vercoutre, ne diront pas le contraire.

AS ROME - MILAN AC : 4-2
Serie A - 18e journée

L'AS Rome a tout simplement régalé lors de sa victoire face au Milan AC au Stadio Olimpico. Les vieux briscards Totti et de Rossi ont prouvé qu'ils en avaient encore sous la pédale, en délivrant de véritables caviars à leurs coéquipiers. Lamela, Pjanic et Osvaldo ont confirmé qu'ils étaient indéboulonnables. La Louve est bel est bien lice pour le podium. A Milan, la situation n'est pas aussi rose. Outre le marasme offensif, où seuls El Shaarawy et les entrants Pazzini et Bojan ont tenté des choses, c'est surtout la défense qui a une nouvelle fois inquiété. Marquage souvent laxiste, défaillance dans les airs (trois buts de la tête concédés) et une passivité incroyable. Massimiliano Allegri a encore et toujours du boulot.

MARSEILLE - SAINT-ETIENNE : 1-0
Ligue 1 - 19e journée

Le dernier match de Ligue 1 disputé avant Noël n’a pas été un cadeau pour les fans de football. Pas de quoi contrarier l’Olympique de Marseille néanmoins. Vainqueur de Saint-Etienne, le club phocéen s’est assuré des fêtes bien au chaud. De cette rencontre, on retiendra avant tout et surtout son résultat. Le même que six autres rencontres de L1 disputées et gagnées par l’OM. Un record en Championnat de France où aucune équipe ne rentabilise plus ses réalisations que la bande d’Elie Baup. Imaginez que sept des vingt-quatre buts olympiens marqués durant la première partie de la saison auront rapporté vingt-et-un points. Une gestion aux petits oignons.

CAGLIARI - JUVENTUS : 1-3
Serie A - 18e journée

La Juventus a assommé la Serie A avant la trêve. Elle compte désormais huit points d'avance sur son premier poursuivant, la Lazio. Vendredi, les hommes d'Antonio Conte n'étaient pourtant pas dans un grand soir. D'abord menés, ils ont acquis la victoire dans le temps additionnel. Ce succès a démontré que tout l'effectif de la Juve était concerné. C'est Matri, en grande difficulté cette saison, qui a fait la différence en égalisant et en donnant l'avantage aux siens.

SAMPDORIA - LAZIO : 0-1
Serie A - 18e journée

C'est la bonne opération de ce week-end en Italie. Grâce à son succès face à la Sampdoria, la Lazio se retrouve deuxième au classement. Lulic et Hernanes ont tout simplement été excellents. Le club romain a confirmé sa victoire sur l'Inter la semaine dernière (0-1) et son excellent état de forme, puisqu'il est invaincu lors des sept derniers matches et qu'il a pris 17 points sur 21 possibles. La Lazio est dans la course pour accrocher la Ligue des champions, compétition qu'elle n'a plus disputée depuis la saison 2007-2008.

EurosportSuivre

 
PLM en pôle
La Ligue 1 se paie un trio de tête démographique, avec les trois plus grandes villes de France sur le podium, toutes à égalité, un première depuis 1992-93, sachant qu'il faut remonter à 1998/99 pour voir deux clubs à égalité. Un trio qui compte déjà six longueurs d'avance sur le quatrième, Rennes. Et comme l'an dernier, le PSG est champion d'automne, mais avec deux points de moins (38 contre 40). La saison passée, le club parisien devançait le futur champion montpelliérain de trois points. A noter qu'avec Lille en 2010/11 (32 avec un match en retard) et Lyon en 2008/09 (38 points également), c'est l'un air max pas cher des plus faibles champions d'automne des 10 dernières années. Depuis 20 ans, le champion d'automne ne confirme en été qu'une fois sur deux.

Le PSG termine avec la meilleure attaque (36), devant Lyon (33) et Lorient (32), et la meilleure défense (12), devantBordeauxetSaint-Etienne (14), soit une différence de buts de +24, la meilleure depuis Lyon en 2006/07 (+28). A noter que le PSG possède exactement les mêmes chiffres de buts au Parc des Princes et en déplacement (18/6).Lyon remporte le classement à domicile (25 pts) devant Valenciennes et Nice (21), et Marseille celui à l'extérieur (21) devant Paris (18) et Rennes (16). Une seule équipe est invaincue à domicile (Bordeaux), tandis que Nancy, Reims et Troyes n'ont toujours pas gagné à l'extérieur. L'ASNL, dernière avec 11 points, qui n'a plus gagné depuis la première journée. Depuis une décennie, aucune équipe comptant aussi peu de points s'est maintenue dans l'élite.


Zlatan et les autres
Que dire de Zlatan Ibrahimovic ? Le dernier à atteindre latrêveavec 18 buts était Halilhodzic (Nantes) en 1984/1985. Mais le Bosnien, 28 buts au total, avait disputé 18 matches, contre 16 pour le Suédois. Depuis 50 ans, seuls Skoblar en 1970/71 (21), nike air max pas cher Gondet (19) en 1965/66, et Akesbi en 1962/63 (22) ont fait mieux.L'ancien Milanais, troisième buteur d'Europe en 2012 (50) derrière Messi (91) et Ronaldo (63) et devant Falcao (49) et Cavani (45), est un buteur d'extérieur : il a marqué lors de chacun de ses 7 déplacements, marquant 12 fois (1,71), soit les deux tiers de son total, signant trois doublés et un triplé. En revanche, son rendement à domicile, 6 buts en 9 matches, dont 2 doublés et 5 matches sans but, est presque trois fois moindre (0,67). Par ailleurs, malgré son gabarit (1,95, 94 kgs), il n'a jamais marqué de la tête, s'illustrant du droit (11) mais aussi du gauche (7), catégorie où il devance des gauchers comme Traoré, Bastos et Alessandrini (5). Il a également marqué un penalty et deux coup-francs, meilleur total cette saison avec Traoré et Bastos, ainsi que les Rennais Féret et Alessandrini.

Ibrahimovic, 50 % des buts parisiens en championnat, a déjà fait aussi bien que Niang en 2009/2010 (18) et mieux que Pauleta, en 2006/07 (15 !).Evidemment, derrière ça a du mal à suivre, même si Gomis (Lyon, 11) et la révélation de la saison,Cvitanich (Nice, 10), n'ont pas à rougir de leurs totaux, tout comme Ben Yedder (Toulouse) et Modeste (Bastia) (9) ou Aubameyang (ASSE) et Féret (Rennes), qui en sont à 8. Notons également les bonnes performances de Gouffran (Bordeaux), Ben Basat (Brest), Aliadière (Lorient) etAlessandrini(Rennes), auteurs de 7 buts. A 6 buts, sont présents les toujours verts Barbosa (ETG) et Nivet (Troyes), le renaissant Gignac (OM), les milieux Traoré (Lorient), Belhanda (Montpellier), Payet (Lille) et Kadir (VA), Lisandro (OL), Camara (Montpellier), Khelifa (ETG) ainsi que deux autres Rennais, Pitroipa, et Erding. Les quatre meilleurs buteurs bretons ont donc marqué 27 des 29 buts bretons !

Enfin, notons les grosses performances du jeune Sochalien Rafael Dias (1 but en 34 minutes, sur coup-franc) et de Kevin Gameiro (5 buts en 374 minutes, 1 toutes les 75). Ce sont les deux seuls joueurs de Ligue 1 à avoir une meilleure moyenne par minute qu'Ibrahimovic (1 toutes les 79 minutes).

L'Europe se rebiffe
Cette année encore, le nombre de buts augmente. Après les 2,52 de l'an passé, on est passé à 2,58, avec une pointe à 2,7 au soir de la 12e journée, et 5 week-ends à plus de 30, contre un seul à moins de 20. L'an passé, 4 des 10 meilleurs buteurs de Ligue 1 étaient Français, cette fois ils sont 7 sur 11. Logique, vu que la chute du taux de buts étrangers, déjà constatée l'an passée (49 contre 53,3) se confirme cette saison (45,9). Le Brésil, sempiternel leader (25 buts) est désormais talonné par l'Argentine (23), la Suède de Vous-Savez-Qui se classant troisième (18). Grâce à cette performance, l'Europe tient pour une fois la dragée haute à l'Amérique du Sud (52 chacun), derrière l'intouchable Afrique (112).


Le meilleur buteur à l'extérieur est donc Ibra (12), devant Féret et Cvitanich (5). Notons le très faible nombre de buts des moins de 21 ans (19 dont 4 pour J.Ayew, soit 4%) et le bon score des plus de 31 (55, dont 6 pour Barbosa et Nivet, 5 pour Pujol et 4 pour Mutu, soit 11,7%). Les milieux marquent un peu moins que d'habitude (41,2%) et les défenseurs toujours très peu (45, dont 24 de la tête). Les tireurs de coup-francs, eux, se sont réveillés, puisqu'ils ont marqué presque autant de cette manière (23, 4,88%) que sur penalty (27, 5,73). C'est Gomis et Cvitanich qui ont marqué de ces derniers (3), et c'est Lyon qui en a marqué le plus (5). De leurs côtés, Bastos et Courtet (Reims) sont les meilleurs remplaçants de Ligue 1 (3) et Toulouse (6) et l'ASSE (5) qui a les meilleurs joueurs sortis du banc.

Si l'on ajoute aux buts les passes décisives dans le jeu, exercice dans lequel Aliadière (Lorient) et Danic (VA) excellent (6) devant Sagbo (ETG), Malbranque (Lyon), Ménez et Ibrahimovic (PSG), et Le Tallec (VA) (5), c'est bien sûr le grand Suédois qui mène (18+5) devant Gomis (11+3), Aladière (7+6) et Aubameyang (8+4). Par club, c'est encore le PSG qui est devant (35+26) suivi de Lorient (31+18) et Lyon (32+16). Reims (13+7) et Nancy (15+5) ferment la marche. Dans le dernier quart d'heure, c'est Brest qui s'illustre (+8 points) devant Lorient et Nice (+5) tandis que Montpellier et Nancy terminent mal (-5). C'est Nice et le PSG qui ont le plus marqué en fin de match (9 buts) et Sochaux et Nancy le moins (2). Le PSG a pris le moins de buts dans les 15 dernières minutes (2, tous à Nice, 2-1), et Bastia le plus (12). Là aussi, c'est Ibrahimovic le meilleur buteur (4). Pourra-t-il tenir encore ce rythme longtemps ?

 
belga.

Vainqueur au Standard (1-3, doublé de Lestienne, but de Bacca), Bruges a confirmé son retour au premier plan. Il n'a pourtant fallu que 50 secondes aux Rouches pour ouvrir le score, via Imoh Ezekiel. Mais grâce à une deuxième mi-temps d'excellente facture, les Brugeois, emmenés par un duo Vazquez-Lestienne intenable, ont réussi à renverser la vapeur pour signer leur premier succès probant depuis très longtemps. C'est aussi leur première victoire à Sclessin depuis la saison 2004-2005. Sans démériter, loin air max pas cher de là, les Rouches subissent un coup d'arrêt imprévu, après quatre succès consécutifs.

belga.
belga.
belga.
belga.
belga.
belga.
Cliquez ici pour revivre le direct commenté

Cliquez ici pour voir les plus belles images

1. Buzaglo sanctionné par Rednic
Mircea Rednic n'est pas un rigolo. Le coach roumain du Standard l'a encore démontré ce dimanche en renvoyant Maor Buzaglo à la maison pour un tweet malheureux envoyé samedi, veille du match. L'Israélien s'est plaint publiquement de ne pas obtenir une place de titulaire pour le choc contre les Blauw en Zwart. « J'ai disputé trois matches, je suis impliqué dans cinq buts et nous avons gagné ces rencontres. Très surpris de ne pas être titulaire demain! » A la base, Buzaglo aurait donc dû prendre place sur le banc mais Rednic a décidé de se passer air max pas chere de ses services en le laissant à la maison. Une fois de plus, l'entraîneur du Standard a montré que le seul patron, c'était lui.

2. Coup de tonnerre après 50 secondes
Le choc a démarré sur les chapeaux de roue. Imoh Ezekiel a peut-être inscrit le but le plus rapide de la saison en trouvant la faille après seulement 50 secondes de jeu. Tout est parti d'une mauvaise passe en retrait de Vadis pour Larsen, qui a raté son contrôle. Le petit Nigérian en a profité pour filer au but et tromper Kujovic en deux temps. Lancé idéalement par ce but, le Standard aurait pu alourdir la marque, principalement par Buyens, mais il a galvaudé ses possibilités. Il allait s'en mordre les doigts.

3. Le coaching gagnant de Garrido
Conscient que son équipe manquait de consistance, Juan Carlos Garrido n'a pas hésité à faire deux changements à la pause pour redynamiser son équipe. Tchité (très discret pour son retour à Sclessin) a cédé sa place à Refaelov, tandis que Vazquez suppléait le jeune Verstraete. Un choix qui a rapidement porté ses fruits lorsque l'ancien du Barça lançait magnifiquement Lestienne, qui trompait Kawashima. Ce n'est sans doute pas un hasard si les Rouches ont davantage subi après la pause.


 
Le chef du gouvernement italien Mario Monti s'est dit prêt dimanche à diriger de nouveau l'Italie après les élections de février mais sur la base d'un programme et à la tête d'un vaste mouvement politique réformateur, ouvert à la société civile.

"Aux forces qui manifesteront une adhésion convaincue et crédible au programme Monti, je suis prêt à donner mon opinion, mes encouragements, et, si on me le demande, à les diriger", a annoncé M. Monti, devant la presse, mettant fin à un suspense qui durait depuis plus d'une semaine.

Tout en multipliant prudemment les "si" et "mais", l'ex-commissaire européen s'est dit "prêt à assumer un jour, si les circonstances le veulent, les responsabilités qui me seraient confiées par le Parlement".

Il a présenté un "Agenda Monti" sous l'intitulé "Changer l'Italie et réformer l'Europe", qui prévoit un ancrage fort en Europe, des libéralisations, des mesures pour l'emploi et pour réformer la justice.

Dans un entretien avec la chaîne publique de télévision Rai Tre, le chef du gouvernement démissionnaire n'a pas exclu que les forces politiques qui le soutiendront puissent "indiquer son nom sur leur liste en tant que candidat Premier ministre", au scrutin des 24 et 25 février.

A la présentatrice de l'émission qui a qualifié sa démarche de "montée en politique", M. Monti, uniquement considéré jusqu'à présent comme un technocrate, a répondu : "j'assume la responsabilité de ce que j'ai entrepris".

"Pour emprunter la voie des réformes, il faut un mandat politique, il faut soumettre le programme à l'opinion des électeurs", a indiqué le chef du gouvernement, expliquant toutefois ne pas pouvoir être techniquement candidat aux législatives car il est déjà sénateur à vie.

Conscient du caractère "inhabituel" de sa stratégie, M. Monti a affirmé vouloir dépasser les clivages et a appelé tous les "réformateurs" à adopter son programme, même si cela devait conduire à "désassembler" les formations traditionnelles de droite et de gauche. Il a cité nommément plusieurs personnalités du Parti démocrate (PD) et du PDL de Silvio Berlusconi nike air max pas cher qui pourraient le rejoindre.

Son projet s'adresse à la nébuleuse du "nouveau centre", qui regroupe les ex-démocrates chrétiens et les laïcs proches du patron de Ferrari, fervents partisans depuis des semaines d'une "descente" dans l'arène du "Professeur", mais aussi à "toute la société civile".

Dans la rue, les réactions étaient plutôt positives : "Je pense que c'est l'unique personne qui puisse nous sortir du tunnel, même s'il doit nous demander pour cela des sacrifices", a expliqué Gianna, 43 ans à l'AFP-TV tandis que Paolo, 50 ans, a dit "fortement" espérer qu'il soit candidat. "Sinon, je ne saurai pas quoi faire aux élections".

Pour M. Monti, son "pas en avant air max pas cher gigantesque" s'explique par sa volonté de "ne pas détruire les durs sacrifices que les Italiens ont dû consentir".

Devant la presse, il a stigmatisé son prédécesseur et rival potentiel, Silvio Berlusconi, lancé dans sa sixième campagne en dix-huit ans, en rappelant "la situation périlleuse dans laquelle se trouvait le pays" à son arrivée en novembre 2011.

M. Monti a aussi exprimé son "désarroi" face aux déclarations contradictoires du Cavaliere, 76 ans, qui a alterné ces derniers jours entre les louanges à l'égard du "Professeur" et les condamnations sans appel de l'action de son gouvernement.

"J'ai beaucoup de mal à suivre la linéarité de sa pensée", a noté M. Monti, dénonçant les critiques du Cavaliere sur un gouvernement "accroupi devant l'Union européenne" et sa proposition de supprimer l'impôt sur la résidence principale (IMU).

"Toute hypothèse de collaboration avec Monti est terminée", a rétorqué le secrétaire du PDL, Angelino Alfano, avant de confirmer que s'il remporte le scrutin, le PDL proposera de supprimer l'IMU.

M. Berlusconi dans une énième intervention télévisée dimanche a très directement attaqué M. Monti : "j'ai fait un cauchemar la nuit dernière, Monti était revenu au gouvernement", a-t-il dit, ajoutant que "tout est allé vers le précipice, l'opération Monti arrive d'Allemagne".

La possibilité d'une alliance paraît plus envisageable avec la gauche qui sera emmenée aux législatives par Pier Luigi Bersani, le chef du Parti démocrate, actuellement favori pour le poste de Premier ministre avec 30 à 35% des intentions de vote.

Alors que les sondages donnent un centre fédéré par Monti à seulement 15%, il pourrait être un Premier ministre de recours pour une "grande coalition" entre gauche et centre, si aucune majorité claire ne se dégageait au parlement.